21 avril 2006
On achève bien les chevaux...
Ils entrent. Et l’odeur est comme un uppercut qui les cueille à l’angle de la mâchoire, de son indicible violence. Pendant une seconde, ils sont sonnés, hésitants, incrédules. Puis, presque en se jouant, l’odeur les rattrape, s’insinue aux naseaux. Alors...